Livre: L’enfance frappe souvent à la porte avec ses bagages
Auteur: Loetitia Manent
Pages: 110
Date de sortie: Novembre 2017
Editions: Nombre 7
Synopsis
Mes parents ? Impossible de les nommer… Ils resteront à jamais dans mon cœur « elle » et « lui »…
Parce qu’évoquer leurs prénoms ouvrirait trop de blessures.
L’écriture comme médication…
Je m’affranchis et quitte l’enfance pour construire une vie d’adulte sereine et épanouissante…
Ma vie d’adulte.
Je m’appelle Lyly et j’ai décidé d’arrêter de souffrir. Ces gens qui m’ont mise au monde ne méritent pas que je leur fasse un tel honneur. Tant que possible… Si j’y arrive…
Mon avis
Ces petits cailloux posés durant l’enfance orienteront nos quêtes individuelles
Je n’ai pas grand chose à dire sur ce petit livre qui me fait limite penser à un recueil de poésies.
Un livre de 110 pages, avec des mots éparpillés sur celles-ci. Un petit ouvrage qui se lit très rapidement et qui est très pratique pour ceux qui ne veulent pas s’encombrer ou bien qui manquent de temps, mais qui ont toutefois besoin de beaux mots.
Un récit en faveur de l’enfance. L’enfance est ce qui nous construit, ce qui fait ce que nous sommes aujourd’hui. Que nous soyons des êtres du bien ou des êtres du mal. Tout réside sur ce que nous avons vécu durant nos premières années, de l’amour que l’on a reçu et des gens avec qui nous avons vécu.
Une plume poétique et touchante. J’aurai aimé que ce sujet face l’objet d’une grande histoire, d’un livre plus complet. J’en suis certaine, celui-ci aurait pu me faire verser une larme. Son message n’aurait été que plus fort encore.
La vie est mortelle,
L’Amour est son poison.
Amer et toxique.
La vie est éternelle.
L’Amour est son antidote.
Doux et sucré.
L’Amour est un virus mutant que l’on contracte rarement en conscience.
Lyly le crie haut et fort!
L’Amour est bel et bien une maladie
Bénigne ou maligne…
Une maladie.
L’évolution de cette maladie dépend de l’acceptation et de la perception que l’on se fait d’elle-même.
Et c’est encore une fois dans cette satanée enfance que l’on puise toutes les réponses.
Tels des archers, les parents tirent.
Les ficelles des vies des enfants.
Des flèches dans les vies des enfants.
Si la flèche est guidée par l’amour, alors la cible, l’enfant, ne craindra pas les atteintes ni agressions extérieures.
Il cheminera confiant, dans la vie.