Livre: Glacé
Auteur: Bernard Minier
Pages: 553
Date de sortie: 2011
Synopsis
Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d’une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d’un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée. Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d’altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ? Une atmosphère oppressante, une intrigue tendue à l’extrême, une plongée implacable dans nos peurs les plus secrètes, ce premier roman est une révélation !
Mon Avis
J’ai tout d’abord acheté « Le Cercle », puis je me suis rendu compte qu’en réalité il y avait « Glacé » qui le précédait. Je me suis donc rendu à la Fnac pour me le prendre.
J’avais hâte de commencer » le cercle », je me suis du coup dépêché de commencer celui-ci! Le résumé donnait envie de le lire.
Tout se passe en 2008, on suit le commandant Servaz. Celui-ci est appelé sur une enquête on ne peut plus étrange. Il s’agit d’un cheval, pendu à un téléphérique, sans tète, et débarrassé de sa peau qui forme des ailes. Une image très sanglante et très sombre, qui nous retourne plus que si c’était un homme. Pourquoi s’en prendre à une bête innocente? Là est toute la question. Va s’en suivre d’autres meurtre tout aussi désagréable à lire les uns les autres.
Les meurtres et l’enquête sont très intéressants et très prenants dans ce livre. On s’attache aux personnages principaux comme le commissaire Servaz. On veut savoir le pourquoi du comment et la tension monte au fur et à mesure qu’on lit ce polar. Je dirai que le gros point négatif de cet ouvrage reste les longueurs, il y a au moins 200 pages qui auraient pu être évité…. Assez dommage en effet puisqu’il nous coupe dans cette tension montante, et rallonge un peu trop la sauce à mon goût. Je me suis pas mal forcé à le finir, justement à cause de ces petits passages à vide à répétition.
A voir si « Le cercle » aura le même défaut….